Biographie Francine SPLINGARD

 

FICHE TECHNIQUE

Nombre de pages : 112 + 4

Date de parution : avril et septembre 2017

Impression : laser noir-blanc et couleur

 

 

 

 

Challenges et développements côté rédaction

En fait de défi rédactionnel, la biographie SPLINGARD n’en aura présenté qu’un, d’une certaine façon, mais de taille ! Ce qui était en jeu, via cette première mission, c’était en effet rien moins que la question de savoir si nous serions capable de nous montrer à la hauteur de notre promesse commerciale, consistant à… rédiger des récits de vie !
Au-delà de ça, pour être complet, un autre challenge plus secondaire aura résidé dans le fait de rédiger une « fausse interview », prétendument menée par la petite-fille de la biographiée (tout de même présente lors de la plupart des rencontres, ce qui eut pour effet de réduire d’autant la « supercherie » !).
Sur un point comme sur l’autre, il semblerait – à en juger par la reconnaissance touchante exprimée par la famille BAUDET / DECRUYENAERE -, que nous ne nous en soyons pas trop mal sorti… Grand merci à Valérie et à Colette, en tous les cas, pour la confiance ainsi accordée à un archi-débutant ! 🙂   

Challenges et développements côté mise en page

Pour ce qui est du volet graphique, par contre, l’honnêteté exige de reconnaître qu’on était encore bien loin, en cette année 2017, des « beaux livres » aujourd’hui délivrés par MVQH !
A cette différence notable, une explication simple, à vrai dire : à l’échelle de ce premier projet, nous ne nous étions pas encore assuré les services de graphistes externes aguerris ! En lieu et place, nous avions fait alors le choix excessivement audacieux de prendre en charge seul les volets rédactionnel et de mise en page, à la manière d’un improbable homme-orchestre…
Du coup, cette biographie n’est pas loin de présenter, sous cet angle précis du lay out, des allures « d’esquisse », ou, pour le dire en termes à peine plus positifs, de « mesure zéro » ! Avec des photos reléguées en annexes, à l’écart du récit lui-même, on restait en tous cas loin de ce qui fait aujourd’hui la force de nos collections. Mais comme disait l’autre : il faut un début à tout…